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Moulin à blé, puis minoterie Chevalier ou minoterie des Monards
France > Nouvelle-Aquitaine > Charente-Maritime > Chenac-Saint-Seurin-d'Uzet

La minoterie, côté nord, et la vanne au premier plan.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Schéma de fonctionnement d'un moulin à l'anglaise type dans les années 1830.
Lambert Zoé
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Schéma de fonctionnement d'une minoterie type dans les années 1930.
Lambert Zoé
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Plan masse, plan schématique des toitures d'après le plan cadastral de 1999.
Lambert Zoé
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Les moulins de Chauvignac, de Rambaud et des Monards sur un plan par l'ingénieur Claude Masse en 1708.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Bibliothèque municipale de Bordeaux

Les moulins de Chauvignac, de Rambaud et des Monards sur un plan des rives de l'estuaire par Claude Masse vers 1700.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Service historique de la Défense

Les moulin de Chauvignac, de Rambaud et des Monards, à gauche, sur le plan de Desmarais en 1759.
Suire Yannis, Desmarais
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Le moulin des Monards sur le plan cadastral de 1833.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Le moulin du sieur Latreille sur un plan d'aménagement du port des Monards en 1843.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Le moulin sur un plan du port des Monards en 1869.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Elévation sud du moulin sur un plan pour le réaménagement du port des Monards en 1843.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime

Le ports des Monards avec la minoterie à l'arrière-plan, carte postale du début du 20e siècle.
Deneyer Marc
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

La minoterie sur une carte postale vers 1900.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Collection particulière

La minoterie vue depuis le nord en 1999.
Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

La rivière de Chauvignac, élargie en étang, juste en amont du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Vanne en amont du moulin, au débouché de l'étang.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Meules déposées près de la minoterie et de l'étang.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

L'ancien logement patronnal, au premier plan, à l'est des bâtiments.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Le moulin, à gauche, et l'atelier de fabrication, au centre, côté nord.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Le moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Détail de la façade du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

L'atelier de fabrication côté nord.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

La minoterie, côté sud, vue depuis le port.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

L'atelier de fabrication, côté sud, et le quai couvert de déchargement.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

L'eau ressortant du moulin, au pied du quai de déchargement.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Le quai de déchargement.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Bassin pour laver les grains sur le quai de déchargement.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Silo à grains à l'arrière de l'atelier de fabrication.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Machinerie au rez-de-chaussée du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Colonnes en fonte au rez-de-chaussée du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Fosse des roues du moulin.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Trace de roue dans la fosse.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Roue de moteur thermique au rez-de-chaussée de l'atelier de fabrication.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

L'intérieur de l'atelier de fabrication, les planchers supprimés.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

L'intérieur de l'atelier de fabrication, les planchers supprimés.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Machinerie au troisième étage de l'atelier de fabrication.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Eléments de machinerie pneumatique.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Machine à trier les grains.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Machine à trier les grains.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Marque du fabricant Teiset-Rose-Brault sur la machine à trier.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Bluterie.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Le plansichter.
Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Titre : Moulin à blé, puis minoterie Chevalier ou minoterie des Monards
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Auteur de l'oeuvre : auteur inconnu
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Période : 2e quart 19e siècle , milieu 19e siècle
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Localisation : Charente-Maritime , Chenac-Saint-Seurin-d'Uzet , 14 route du Littoral
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Type de dossier : Dossier d'oeuvre architecture
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Aire d'étude : Estuaire de la Gironde (rive droite)
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Phase du dossier : étudié
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Date d'enquête : 1999
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Auteur du dossier : Moisdon-Pouvreau Pascale , Suire Yannis
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Historique
La minoterie des Monards a succédé à un moulin à eau, peut-être à marée, qui a pu exister dès le Moyen Age. En 1520, Guillaume de La Mothe-Fouqué, seigneur de Saint-Seurin, l'afferme à Guillaume Turpin pour 48 boisseaux de froment par an. Le moulin est de nouveau mentionné en 1532 dans une transaction passée entre le seigneur de Saint-Seurin et Valentin de la Roche qui détient des droits sur le moulin des Monards. En 1643, le "moulin des Mounards, proche de la mer" est indiqué dans l'aveu rendu à l'évêque de Saintes par le seigneur de Saint-Seurin. Au début du 18e siècle, il figure sur deux plans de la région établis par l'ingénieur Claude Masse. Deux autres moulins à eau existaient en amont : près de la source de Chauvignac et vers l'actuel pont de Rambaud. Tous les trois apparaissent ensuite sur le plan de l'estuaire de la Gironde établi en 1759 par Desmarais.
En 1734, le moulin des Monards est exploité par Louis Bizet, farinier, qui prend en ferme la même année le moulin à eau de Font Garnier. En 1782, le moulin des Monards est vendu par Messire Pierre Jean, vicomte du Mesnil Simon, chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint Louis, lieutenant colonel des grenadiers royaux, seigneur de Plassay, l'Epine, la Brousse et autres lieux, à André Chardavoine, marchand, demeurant à Barzan. Le moulin est alors exploité par Jacques Hillaire, farinier.
Le moulin figure ensuite sur le plan cadastral de 1833 (tout comme les moulins à eau de Chauvignac et de Rambaud, en amont). A cette époque, il appartient à Isaac Chardavoine, demeurant à Blaye. La partie ouest des bâtiments (à l'emplacement de l'ancien atelier de fabrication) est qualifiée par le cadastre de "maison", le moulin se trouvant dans la partie est, enjambant la rivière. Une dérivation, prenant naissance juste en amont du moulin, lui sert de décharge, en direction du pont des Monards. Cette décharge apparaît, avec un déversoir et le moulin, sur un plan de réaménagement du port des Monards en 1843. Un autre plan, daté cette fois de 1869, qualifie désormais le moulin d'usine.
Au cours de cette période, l'établissement subit en effet d'importantes transformations. Le cadastre indique que le moulin est reconstruit une première fois dès 1835 par Isaac Chardavoine : comme le montre un plan de l'élévation sud du moulin en 1843, le corps de bâtiment qui enjambe la rivière comprend alors un étage tandis que la maison du meunier, à l'ouest, est en rez-de-chaussée. En 1839, selon M.-A. Gautier, cette "moudrerie" est capable de produire 60 hectolitres de farine par jour. Le moulin est acquis peu après par un certain Latreille (il lui appartient selon le plan du port en 1843) puis par les sieurs Verger et Pitaud.
C'est pour le compte de ces derniers que, selon le cadastre, la maison de meunier, à l'ouest, est démolie en 1847. En 1854, toujours selon le cadastre, ils font reconstruire le moulin, lui donnant probablement son aspect actuel : le moulin lui-même ne comprend plus qu'un rez-de-chaussée, tandis qu'un atelier de fabrication de trois étages vient prendre la place de l'ancienne maison de meunier, à l'ouest. Une machine à vapeur est installée en 1859. Elle est déclarée au cadastre, avec deux paires de meules, en 1863. Une autre augmentation de construction est mentionnée en 1886 (peut-être a-t-on à cette époque surélevé l'atelier de fabrication, dont les niveaux supérieurs sont en brique ?). A la fin du 19e siècle, la prospérité de la minoterie tient en grande partie à sa situation sur le port des Monards et à sa proximité immédiate avec l'estuaire, ce qui lui permet d'importer les grains et aussi le charbon d'Angleterre utile à la machine à vapeur, et en retour d'expédier les farines par les gabares du port. Cette production jouit d'une réputation certaine, et l'usine fait la prospérité du port.
Dans l'Entre-deux-guerres, la minoterie des Monards subit la crise économique et la concurrence des Grands Moulins de Bordeaux, comme la plupart des minoteries de la rive droite de l'estuaire de la Gironde. Après la faillite de son propriétaire, M. Gourgues, la minoterie des Monards est louée en 1934 puis rachetée en 1937 par Roger Chevalier (il possédait auparavant une minoterie à Cognac, détruite par un incendie en 1932). Son fils cadet Jacques lui succèdera. La machinerie est modernisée : à la machine à vapeur succède un moteur à gaz pauvre de type Winterthur, d'une puissance de 60 chevaux, puis un moteur éléctrique. Les élévateurs à godets qui acheminent les grains d'une machine à l'autre, sont remplacés par un système pneumatique. En 1936, on compte 2 broyeurs doubles, 3 convertisseurs doubles, 1 plansichter et 1 bluterie ronde. L'usine peut écraser 160 quintaux de grains par jour, soit 15200 par an en 1934 et 1935. Cette capacité est de 120 quintaux par jour dans les années 1960.
La minoterie Chevalier fonctionne jusqu'en 1970, date à laquelle elle fusionne avec la minoterie Fleuri de Mortagne sous le nom des Moulins de l'Estuaire. A partir de 1980, la propriété est rachetée par M. Robert Hemono qui en entreprend la restauration. La cheminée en brique est abattue dans les années 1990. Dans le cadre de la réfection de la route, le déversoir et la dérivation sont supprimés et l'arrivée de l'eau, sous la route, est couverte. L'extérieur des bâtiments est restauré en 2011. En amont du moulin, la rivière est élargie en un étang.
Description
L'ancienne minoterie des Monards se situe sur le port du même nom, au bord de la route du Littoral. Elle enjambe la rivière de Chauvignac qui se jette ensuite dans le chenal du port puis dans l'estuaire de la Gironde. Une suite de vannes s'échelonne sur la rivière en amont de la minoterie pour en contrôler le débit. Un canal de décharge prend naissance juste en amont de l'étang, via une vanne de décharge, et aboutit à la rivière de Rambaud au pont des Monards. Après l'étang, la rivière de Chauvignac franchit la route sous un passage voûté, puis passe sous le moulin.
Les bâtiments de la minoterie comprennent trois parties, d'est en ouest : l'ancien logement patronnal, remanié, la minoterie elle-même et un autre logement, également remanié et transformé en restaurant. La minoterie est constituée principalement de deux corps de bâtiment alignés : le moulin, à l'est, et l'atelier de fabrication, au centre de l'ensemble. Le moulin comprend un rez-de-chaussée et un étage. Sa façade est construite en pierre de taille et présente un bandeau mouluré et une corniche à denticules, caractéristiques du milieu du 19e siècle, de même que la porte, en arc surbaissé. Ce corps de bâtiment abritait les roues du moulin et l'installation motrice (rouet de fosse, beffroi, meules...) utilisées avant la mise en place de la machinerie présente dans l'atelier de fabrication. Dans le passage d'eau, on devine encore la trace circulaire laissée par une roue. Le plafond de la salle des machines au rez-de-chaussée est soutenu par quatre colonnes en fonte. Les meules se trouvaient à l'étage.
Le corps de bâtiment central de la minoterie, le plus haut, abritait l'atelier de fabrication. Il comprend un rez-de-chaussée et trois étages. Les deux premiers niveaux sont en moellons, les deux niveaux supérieurs en brique. A l'intérieur, si les planchers des premier et second étages ont disparu, on observe encore une partie importante de la machinerie qui était utilisée pour le nettoyage des grains, leur mouture et le conditionnement de la farine avant son expédition. Les grains arrivaient par le quai couvert de déchargement situé à l'arrière du bâtiment. Sur ce quai, un petit bassin en pierre était utilisé pour laver les grains. Ces derniers étaient ensuite stockés dans un silo en bois toujours accolé à l'arrière de l'atelier, bien que récemment déplacé.
Les grains puis la farine étaient traités dans une suite de machines dont la plupart des minoteries des années 1930 étaient équipées. Une grande partie de cet équipement subsiste dans la minoterie des Monards, en particulier au troisième et dernier étage : roue de l'ancien moteur thermique (au rez-de-chaussée) ; système d'actionnement pneumatique ; machines à trier et à nettoyer les grains ; bluterie et plansichter pour la mouture de la farine (le plansichter permet par blutage la séparation des différents finots, semoules et farines ; il est composé de plusieurs caisses elles-mêmes constituées de plusieurs porte-tamis, chacun recevant un tamis d'une ouverture de maille différente) ; armoire à filtrer l'air pour en retirer les poussières en permanence ; remplissage des sacs de farine via trois bouches de conditionnement, etc. Une fois conditionnée, la farine était expédiée par le quai à l'arrière de la minoterie, là où le grain était arrivé (avant que les camions ne remplacent le transport par bateau).
Détail de la description
Murs |
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---|---|
Toits |
|
Étages |
3 étages carrés |
Élévations extérieures |
élévation à travées |
Couvertures |
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Énergies |
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État de conservation |
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Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'oeuvre architecture |
---|---|
Référence du dossier |
IA17000363 |
Dossier réalisé par |
Moisdon-Pouvreau Pascale
Chercheur Service Patrimoine et Inventaire Suire Yannis Conservateur en chef du patrimoine au Département de la Vendée et directeur du Centre vendéen de recherches historiques à partir de 2017. |
Cadre d'étude |
|
Aire d'étude |
Estuaire de la Gironde (rive droite) |
Phase |
étudié |
Date d'enquête |
1999 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel |
Citer ce contenu |
Moulin à blé, puis minoterie Chevalier ou minoterie des Monards, Dossier réalisé par Moisdon-Pouvreau Pascale, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/9651f085-bb52-4eec-81fb-f0a9b416153c |
Titre courant |
Moulin à blé, puis minoterie Chevalier ou minoterie des Monards |
---|---|
Dénomination |
moulin à blé minoterie |
Appellation |
minoterie Chevalier |
Parties constituantes non étudiées |
atelier de fabrication logement patronal chenal |
Statut |
|
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Documents d'archives
Archives Nationales, Centre des archives du monde du travail, Roubaix. 2009/020. 1955-1973: archives de la minoterie Chevalier (instrument de recherche en ligne sur le site internet www.archivesnationales.culture.gouv.fr).
ISBD/Commentaire :
Archives Nationales, Centre des archives du monde du travail, Roubaix. 2009/020. 1955-1973 : archives de la minoterie Chevalier (instrument de recherche en ligne sur le site internet www.archivesnationales.culture.gouv.fr).
Service historique de la Défense, bibliothèque du Génie. Ms 503 (Fol. 131 f), feuille 57, figure 9, et feuille 58. Carte et "Mémoire sur la carte de la figure 9 de la feuille 57. Cette carte contient partie de la coste de la Garonne ou Gironde le long des costes de Saintonge en l'estat que le pays étoit en 1700". Par l'ingénieur Claude Masse.
ISBD/Commentaire :
Service historique de la Défense, bibliothèque du Génie. Ms 503 (Fol. 131 f), feuille 57, figure 9, et feuille 58. Carte et "Mémoire sur la carte de la figure 9 de la feuille 57. Cette carte contient partie de la coste de la Garonne ou Gironde le long des costes de Saintonge en l'estat que le pays étoit en 1700". Par l'ingénieur Claude Masse.
Archives départementales de Charente-Maritime. 3E 44/38. 1734, 5 mars: bail à ferme du moulin à eau de Font Garnier par Jacques Serol, maître tonnelier demeurant au logis de Saint-Rémi, au nom d´Alexandre de Beaupoil, écuyer, seigneur de Saint-Rémi, à Louis Bizet, farinier demeurant au moulin des Monards, paroisse de Chenac, comme en a joui le précédent meunier, Pierre Guiet.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de Charente-Maritime. 3E 44/38. 1734, 5 mars : bail à ferme du moulin à eau de Font Garnier par Jacques Serol, maître tonnelier demeurant au logis de Saint-Rémi, au nom d´Alexandre de Beaupoil, écuyer, seigneur de Saint-Rémi, à Louis Bizet, farinier demeurant au moulin des Monards, paroisse de Chenac, comme en a joui le précédent meunier, Pierre Guiet.
Archives départementales de Charente-Maritime. 10 M 3/12, 1936: contingentement des moulins.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de Charente-Maritime. 10 M 3/12, 1936 : contingentement des moulins.
Archives départementales de Charente-Maritime. 3P 954 à 959 et 5231. 1833-1933: cadastre de Chenac-sur-Gironde, plan, tableau indicatif des propriétés foncières ou état de section, et matrices des propriétés foncières.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de Charente-Maritime. 3P 954 à 959 et 5231. 1833-1933 : cadastre de Chenac-sur-Gironde, plan, tableau indicatif des propriétés foncières ou état de section, et matrices des propriétés foncières.
Archives départementales de Charente-Maritime. S 11642. 1859, 4 août: arrêté du préfet de Charente-Inférieure autorisant les sieurs Verger et Pitaud, propriétaires de l´usine des Monards, à y établir une machine à vapeur.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de Charente-Maritime. S 11642. 1859, 4 août : arrêté du préfet de Charente-Inférieure autorisant les sieurs Verger et Pitaud, propriétaires de l´usine des Monards, à y établir une machine à vapeur.
Informations, notes et archives fournies par M. René Val, Saint-Seurin-d'Uzet (à partir de ses souvenirs personnels, de ses recherches et des archives de la famille Brétinauld et du château de Saint-Seurin).
ISBD/Commentaire :
Informations, notes et archives fournies par M. René Val, Saint-Seurin-d'Uzet (à partir de ses souvenirs personnels, de ses recherches et des archives de la famille Brétinauld et du château de Saint-Seurin).
Documents figurés
Archives Nationales, F14 10059/1. 1759: Carte du cours de la Garonne depuis son embouchure jusqu'au bec d'Embesse, par Desmarais.
ISBD/Commentaire :
Archives Nationales, F14 10059/1. 1759 : Carte du cours de la Garonne depuis son embouchure jusqu'au bec d'Embesse, par Desmarais.
Bibliothèque municipale de Bordeaux, Ms 1079. Carte du huitième quarré de la généralle du Médoc, d'une partie de la Guienne et de la Saintonge (...) en l'état que le pays étoit en 1708. Par l'ingénieur Claude Masse.
ISBD/Commentaire :
Bibliothèque municipale de Bordeaux, Ms 1079. Carte du huitième quarré de la généralle du Médoc, d'une partie de la Guienne et de la Saintonge (...) en l'état que le pays étoit en 1708. Par l'ingénieur Claude Masse.
Archives départementales de Charente-Maritime. S 7893. 1869, 28 décembre: plan du projet d'amélioration du port des Monards, par l'ingénieur Lasne.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de Charente-Maritime. S 7893. 1869, 28 décembre : plan du projet d'amélioration du port des Monards, par l'ingénieur Lasne.
Archives départementales de Charente-Maritime. S 8809. 1843: plans du projet d'aménagement du port des Monards, par les ingénieurs Lessore et Botton.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de Charente-Maritime. S 8809. 1843 : plans du projet d'aménagement du port des Monards, par les ingénieurs Lessore et Botton.
Archives départementales de Charente-Maritime. S 8821. 1841, 13 décembre: plans du projet d'aménagement du port des Monards, par l'ingénieur Lessore.
ISBD/Commentaire :
Archives départementales de Charente-Maritime. S 8821. 1841, 13 décembre : plans du projet d'aménagement du port des Monards, par l'ingénieur Lessore.
Bibliographie
Aveu de la seigneurie de Saint-Seurin-d'Uzet rendu le 6 décembre 1643 à l'évêque de Saintes par Jean de Brétinauld, seigneur de Saint-Seurin, Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, t. 3, 1876, p. 391-396 (donne les limites du territoire de la seigneurie, et cite de nombreux lieux-dits à Chenac et Saint-Seurin).
ISBD/Commentaire :
Aveu de la seigneurie de Saint-Seurin-d'Uzet rendu le 6 décembre 1643 à l'évêque de Saintes par Jean de Brétinauld, seigneur de Saint-Seurin, Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, t. 3, 1876, p. 391-396 (donne les limites du territoire de la seigneurie, et cite de nombreux lieux-dits à Chenac et Saint-Seurin).
Barthou Jacques. "Les petits ports minotiers de la rive saintongeais de l'estuaire de la Gironde (1840-1940)". L'Estuaire de la Gironde, les Cahiers n° 5. Blaye: Conservatoire de l'estuaire de la Gironde, 2003, p. 63-80.
ISBD/Commentaire :
Barthou Jacques. "Les petits ports minotiers de la rive saintongeais de l'estuaire de la Gironde (1840-1940)". L'Estuaire de la Gironde, les Cahiers n° 5. Blaye : Conservatoire de l'estuaire de la Gironde, 2003, p. 63-80.
GAUTIER, M.-A., Statistique du département de la Charente-Inférieure. La Rochelle, 1839.
Mention : p. 138
ISBD/Commentaire :
GAUTIER, M.-A., Statistique du département de la Charente-Inférieure. La Rochelle, 1839.
PINARD, Jacques. Les industries du Poitou et des Charentes: Étude de l'industrialisation d'un milieu rural et de ses villes. Poitiers: S. F. I. L., 1972.
Mention : p. 201
ISBD/Commentaire :
PINARD, Jacques. Les industries du Poitou et des Charentes : Étude de l'industrialisation d'un milieu rural et de ses villes. Poitiers : S. F. I. L., 1972.
Site internet de la minoterie des Monards: www.la-riviere-de-chauvignac.fr.
ISBD/Commentaire :
Site internet de la minoterie des Monards : www.la-riviere-de-chauvignac.fr.
Annexes
Extrait de l'arrêté du préfet de Charente-Inférieure autorisant les sieurs Verger et Pitaud, propriétaires de l´usine des Monards, à y établir une machine à vapeur, 4 août 1859 (Archives départementales de Charente-Maritime. S 11642) :
La machinerie comprendra "une chaudière à vapeur à deux bouilleurs, le tout de forme cylindrique et d´une capacité de 2 m 882 ; une machine à vapeur dont la puissance est de 8 chevaux pour servir à moudre le blé, lesquelles chaudière et machine ont été éprouvées et timbrées pour une pression de 5 atmosphères" ; suit la liste et la description des appareils assurant la sécurité et la surveillance de la chaudière ; la chaudière sera alimentée par une pompe mue par la machine ; le combustible sera du charbon de terre.
Extrait de l'acte de vente de la minoterie des Monards par Marcel Février et son épouse Marcelle Biron à Roger Chevallier, 25 mars 1937 (Archives Nationales, Centre des archives du monde du travail, Roubaix. 2009/020. 1955-1973 : archives de la minoterie Chevalier ; instrument de recherche en ligne sur le site internet www.archivesnationales.culture.gouv.fr) :
La minoteri eest composée de : "au rez-de-chaussée, une salle de nettoyage, une salle des moteurs, quatre salles servant de magasin, salle de la turbine, vestibule, bureau, cuisine, garage, chai et menuiserie ; au premier étage, salle des cylindres, grenier et grenier à issues ; au deuxième étage, salle des machines, et au troisième étage, les salles de blutage. Tous les appareils de meunerie se décomposent comme suit : un moteur à gaz pauvre Wintherhur d'une force de soixante chevaux vapeur, un gazogène Boutillier, une turbine hydraulique Brault Teysset d'une force de trente chevaux vapeur, cylindres, broyeurs et convertisseurs, bluteries rondes et planchistes, sasseurs, mélangeurs, détacheurs, brosses, appareils de nettoyage, deux balances à plateaux. Il existe pour la salle de chaufferie une cheminée en briques d'une quinzaine de mètres de haut".
Galerie d'images 44

Schéma de fonctionnement d'un moulin à l'anglaise type dans les années 1830.
Auteur de l'illustration : Lambert Zoé
Schéma de fonctionnement d'une minoterie type dans les années 1930.
Auteur de l'illustration : Lambert Zoé
Plan masse, plan schématique des toitures d'après le plan cadastral de 1999.
Auteur de l'illustration : Lambert Zoé
Les moulins de Chauvignac, de Rambaud et des Monards sur un plan par l'ingénieur Claude Masse en 1708.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
Les moulins de Chauvignac, de Rambaud et des Monards sur un plan des rives de l'estuaire par Claude Masse vers 1700.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
Les moulin de Chauvignac, de Rambaud et des Monards, à gauche, sur le plan de Desmarais en 1759.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis, Desmarais
Le moulin du sieur Latreille sur un plan d'aménagement du port des Monards en 1843.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
Elévation sud du moulin sur un plan pour le réaménagement du port des Monards en 1843.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
Le ports des Monards avec la minoterie à l'arrière-plan, carte postale du début du 20e siècle.
Auteur de l'illustration : Deneyer Marc
La rivière de Chauvignac, élargie en étang, juste en amont du moulin.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
L'ancien logement patronnal, au premier plan, à l'est des bâtiments.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
Le moulin, à gauche, et l'atelier de fabrication, au centre, côté nord.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
L'atelier de fabrication, côté sud, et le quai couvert de déchargement.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
L'eau ressortant du moulin, au pied du quai de déchargement.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
Roue de moteur thermique au rez-de-chaussée de l'atelier de fabrication.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
L'intérieur de l'atelier de fabrication, les planchers supprimés.
Auteur de l'illustration : Suire Yannis
L'intérieur de l'atelier de fabrication, les planchers supprimés.
Auteur de l'illustration : Suire YannisLocalisation
Adresse: Nouvelle-Aquitaine , Charente-Maritime , Chenac-Saint-Seurin-d'Uzet , 14 route du Littoral
Milieu d'implantation: en écart
Lieu-dit/quartier: les Monards
Cadastre: 1833 D 1912, 2009 OD 1322, 1323, 1343
Schéma de fonctionnement d'un moulin à l'anglaise type dans les années 1830.

Lambert Zoé
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Schéma de fonctionnement d'une minoterie type dans les années 1930.

Lambert Zoé
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Plan masse, plan schématique des toitures d'après le plan cadastral de 1999.

Lambert Zoé
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les moulins de Chauvignac, de Rambaud et des Monards sur un plan par l'ingénieur Claude Masse en 1708.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Bibliothèque municipale de Bordeaux
Les moulins de Chauvignac, de Rambaud et des Monards sur un plan des rives de l'estuaire par Claude Masse vers 1700.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Service historique de la Défense
Les moulin de Chauvignac, de Rambaud et des Monards, à gauche, sur le plan de Desmarais en 1759.

Suire Yannis, Desmarais
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le moulin des Monards sur le plan cadastral de 1833.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le moulin du sieur Latreille sur un plan d'aménagement du port des Monards en 1843.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le moulin sur un plan du port des Monards en 1869.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Elévation sud du moulin sur un plan pour le réaménagement du port des Monards en 1843.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil général de la Charente-Maritime
Le ports des Monards avec la minoterie à l'arrière-plan, carte postale du début du 20e siècle.

Deneyer Marc
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La minoterie sur une carte postale vers 1900.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Collection particulière
La minoterie vue depuis le nord en 1999.

Rome Christian
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La rivière de Chauvignac, élargie en étang, juste en amont du moulin.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vanne en amont du moulin, au débouché de l'étang.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Meules déposées près de la minoterie et de l'étang.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'ancien logement patronnal, au premier plan, à l'est des bâtiments.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le moulin, à gauche, et l'atelier de fabrication, au centre, côté nord.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le moulin.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Détail de la façade du moulin.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'atelier de fabrication côté nord.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La minoterie, côté sud, vue depuis le port.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'atelier de fabrication, côté sud, et le quai couvert de déchargement.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'eau ressortant du moulin, au pied du quai de déchargement.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le quai de déchargement.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Bassin pour laver les grains sur le quai de déchargement.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Silo à grains à l'arrière de l'atelier de fabrication.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Machinerie au rez-de-chaussée du moulin.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Colonnes en fonte au rez-de-chaussée du moulin.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Fosse des roues du moulin.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Trace de roue dans la fosse.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Roue de moteur thermique au rez-de-chaussée de l'atelier de fabrication.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'intérieur de l'atelier de fabrication, les planchers supprimés.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'intérieur de l'atelier de fabrication, les planchers supprimés.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Machinerie au troisième étage de l'atelier de fabrication.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Eléments de machinerie pneumatique.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Machine à trier les grains.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Machine à trier les grains.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Marque du fabricant Teiset-Rose-Brault sur la machine à trier.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Bluterie.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le plansichter.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Machine à filtrer l'air.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Bouches de conditionnement des sacs de farine.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La minoterie, côté nord, et la vanne au premier plan.

Suire Yannis
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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